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enquête rétrofuturiste
 

J'attends la catastrophe parce que quand elle viendra
je veux pouvoir la regarder bien en face, droit dans les yeux.
Je serai là où tout commencera et où tout finira.
En attendant je rêve.

 

Peut-être qu'un jour quelque chose d'inattendu jaillira de ces estomacs s'origine dans les conversations avec ma grand-mère, au crépuscule de sa vie. En l'écoutant me raconter les souvenirs de sa vie matérielle, j'ai entrevu une matière à même d'ouvrir une brèche dans un horizon qui m'apparaissait bouché. Comme s'il y avait dans hier de quoi redonner aujourd'hui consistance à un à-venir.

C'est devenu le récit d'une enquête intergénérationnelle sur les traces de nos grands-parents, de ce que l'on nous a laissé en héritage. C'est une histoire d'histoires. Celle avec un grand H, celles qui nous ont été transmise (ou pas), celles qui ont façonné, labouré, détruit le réel qu'il nous faut habiter. C'est une histoire d'amitié oscillant entre souvenirs et fictions, mythologies, contes et légendes familiales. C'est plonger dans le passé comme dans un réservoir de possibles, à la recherche de ce avec quoi on veut continuer à cheminer.

 

Point presse : article de Léa Gloor dans le journal 24 heures
essais critiques dans L'Atelier critique
par Joaquin M. Piñero, Emma ChapatteAnna Chialva, Marguerite Thery et Clélie Vuillaume

 

Générique

 écriture et interptétation

Arianna Camilli, Danae Dario,
Adrien Mani, Antonin Noël, Lisa Tatin

conception et mise en scène

dramaturgie

création sonore

création lumière

scénographie

costumes

 chorégraphie

Jonas Lambelet

Alexandra Nivon

Alexis Hanhart

Simona Gallo

Fleur Bernet

Anne-Catherine Kunz 

 Laura Gaillard, Bast Hippocrate

 production  h i t z A h i t z
   
 soutiens

Ville de Lausanne
Canton de Vaud
SSA
Loterie Romande
Ernst Göhner Stiftung
Jürg George Bürki Stiftung
Fondation Jan Michalski

 remerciements

Famille Noël
Jérémie Zwahlen
Marc Berman
Jamasp Jhabvala
Sylvain Chabloz
Paul Jobin

 

Photos : Miriam Theus
conte cru
 

Veuillez pardonner mon objection
Mais n'y a-t-il pas justement aux abattoirs
Des choses dont on ne peut rendre compte vraiment
Par des chiffres et des nombres
Par exemple...

 

Cette pièce froide nous emmène dans l'arrière boutique des métiers de la viande. On y croise notamment un apprenti boucher passionné, un intérimaire lessivé, un cochon tueur et un tueur de cochon. Tissé à partir des romans "Comme une bête" de Joy Sorman, "À la ligne" de Joseph Ponthus et "La Vache" de Beat Sterchi, ce conte cru propose un réflexion sur l'industrie agroalimentaire et les coûts invisibilisés de notre alimentation. Oscillant entre narration et poésie, musique et théâtre, noise jazzy et rock enfantin, ce spectacle hybride déploie un univers sonore dense pour penser ensemble notre rapport à ceux que l'on mange.

Poursuivant les expérimentations initiées avec H O W L et Pièces détachées, BOUCHERIE[s] s'inscrit dans une lignée de formes tout-terrain qui cherchent à brouiller les frontières entre musique et théâtre. C'est à la fois un travail musical de la langue, une composition théâtrale de la musique et l'envie de proposer des expérimentations scéniques où les codes du théâtre et du concert se mélangent, s'augmentent, proposant une matière à danser autant qu'à penser. Inscrites dans un dispositif scénographique modulable, ces pièces sont conçues pour être présentées dans tout type d'endroits, trouvant leurs aises autant dans une boîte noire que dans les résonnances du réel.

 

Générique

Conception
et interptétation

Dominic Frey

Alexis Hanhart

Jonas Lambelet

Grégoire Quartier

Production

Administration

 h i t z A h i t z

Alexandra Nivon

 

Photos : Miriam Theus
electro-conte d'après Alain Damasio
 

À l'origine,
personne ne s'en souvient,
mais les phares avaient été bâtis 
pour guider
de très loin les navires qui venaient du large.

Ils étaient le porte-étendard de la ville,
offrant aux voyageurs la plus généreuse des lumières,
celle qui accueille, celle qui sauve.

 

Dans un monde submergé où le flot intarrissable des voitures tente d'échapper aux marées, les phares s'élèvent comme autant de petits îlots solitaires. La communication n'est plus possible qu'à travers la nappe, tissus de lumière saturé où toustes tentent de capter l'attention. Comment continuer à rester en lien à travers ce brouhaha ? Comment continuer à y voir clair ? Comment s'aimer à travers ?

Adapté d'une nouvelle d'Alain Damasio, cette pièce sonore nous parvient comme un fragment d'un futur dystopique, une tranche non filtrée d'un réel mutant à livrer aujourd'hui à une archéologie du futur. C'est un objet sonore non identifié, à mi-chemin entre le contre et la noise, entre la prédiction et la fiction, qui invite à plonger à travers ses couches de sens et de sons.

Les bøats sont une série de collaborations entre hitzAhitz et Svea Jørwig. Ensemble, iels tricottent à partir de différents matériaux textuels et sonores les bribes de questions tentant de trouer le présent. Ces expérimentations se déroulent en studio, s'augmentent par la vidéo et n'excluent pas de prendre un jour corps de-ci de-là.

 

Streaming : https://soundcloud.com/svea-jorwig/so-phare-away

Générique

conception et adaptation

mise en musique

Svea Jørwig, Jonas Lambelet

Svea  Jørwig

voix

Danae Dario, Chloë Lombard,
Jonas Lambelet

production h i t z A h i t z

 

 

u-chronique ordinaire
 

Chef d'accusation : parasite social
Verdict : 5 ans de camp de travail

 

Parmi les choses que notre siècle a imposé comme élément primordial de notre identité, il y a l'activité professionnelle. De l'apparemment inofensif qu'est-ce que tu voudrais faire plus tard au qu'est-ce que tu fais dans la vie ?, le travail est un des ressorts fondamental de l'appareil néolibéral. Le travail comme ce qui crée de la valeur, monétaire et sociale. Le travail qui donne du sens parce qu'il nous rend utile. Le travail, un mal nécessaire. Il y a celleux qui s'épanouisse à travers lui, celleux qui prennent sur elleux et celleux qui tentent de se soustraire à lui. De la réthorique des "profiteurs" à celle des "parasites" il n'y a qu'un pas. Bien vite franchi.

brødski est né de la pandémie, de cette période où l'on ne pouvait créer ensemble qu'à distance. Alors que l'on s'interrogeait sur quelles professions étaient véritablement nécessaires, les notes du procès du poète Iossif Brodsky sont revenues jusqu'à nous, percutant le présent, faisant résonner un passé pas si lointain que l'on croyait pourtant révolu. Ces bribes du réel se transforme ici en une sorte d'uchronie ordinaire où les discours se font échos à travers le temps, les langues, les réalités. Ce travail s'est construit sous forme d'échange épistolaire de capsules sonores, comme si parvenait à chacun.e des fragments d'une autre époque, passée ou à venir..?

Les bøat sont une série de collaborations entre hitzAhitz et Svea Jørwig. Ensemble, iels tricottent à partir de différents matériaux textuels et sonores les bribes de questions tentant de trouer le présent. Ces expérimentations se déroulent jusque là en studio, s'augmentent par la vidéo et n'excluent pas de prendre un jour corps de-ci de-là.

 

Streaming : https://soundcloud.com/svea-jorwig/tu-galoperas-dans-lobscuritee

 

 

Générique

mise en musique

Svea Jørwig

avec les voix de

Arianna Camilli
Cécile Goussard
Lara Khattabi
Jonas Lambelet
Adrien Mani
Antonin Noël

imaginé par Jonas Lambelet
Production h i t z A h i t z

 

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