Aujourd'hui, peut-être plus qu'à la normale, il y a quelque chose de presque indécent à se réjouir pour soi.
Peut-être parce qu'après plus d'un an de politiques brutales imposées sur nos corps, nous confinant dans nos derniers retranchements, à macérer dans nos peurs, amplifiées par nos technococons, tisser des liens semble s'imposer comme seule résistance possible. Parce que vous me manquez putain.